Le vent emporte mes pas.Comme un silence en
Le vent emporte mes pas.
Comme un silence en bascule sur hier.
Quand l'ombre et la lumière,
En accord, ne se quittent pas.
Le doute, l'espoir, la peine,
Le froid des sentiments troublés.
L'amour vrai partagé, en veines.
Les rêves d'enfances imaginés,
Déchirés, évaporés.
Tu es parti sans m'abandonner,
A jamais liés en notre éternité.
Tu m'as fait guerrière lumière,
Aux mille batailles acharnées.
Avec toi, je n'ai plus jamais eu peur
De me battre, poing levé aux terreurs.
Brandissant ma fierté, sans me taire,
Refusant d'être niée.
En volonté d'exister, je gronde.
Tu es ma force, mon courage,
Mon insouciance et mes joies sages
Tu me voulais présidente du Monde
Ou princesse de châteaux des rois
Tout est gravé en moi...
Je sais, j'aurai dû pleurer, mais
La princesse ne verse pas ses larmes.
Ma voix en scène en signature vraie,
De te plaire, comme seul charme.
Je chante, ravage, tempête tourment.
C'est ma façon de crier mes sentiments
Tourbillon emporté de la parole révélée,
En ciel, en terre, en moi.
Quand je dois aux choix, me faire violence.
Quand je dois avancer en silence.
Si je chancelle, quand je dois me dépasser.
Tu es mon guide, ma voie.
Je te regarde au ciel et je sais que tu es fier de moi.
Je regarde ma vie, celle que tu m'as rêvé,
Celle de vivre sauvage et de chanter.
Tu es ma lumière bleue et je suis ton étoile.
Je me balade le cœur en mémoire, tu es toujours là .
Tu me rends si forte, si forte, si forte,pour toi, pour moi.
© Le cœur en mémoire. Un texte de Xavier Féret, pour toutes les princesses roses à la note bleue
Avec l'aimable autorisation de publier